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- di Marcello Crinò -

E’ iniziato con un appello l’incontro all’ex Monte di Pietà di sabato 22 aprile nel corso del quale è stato presentato il libro di Girolamo Sofia: «Il processo di “romanizzazione” della Provincia di Sicilia», pubblicato da Giambra Editori. A lanciare l’appello Andrea Italiano, storico dell’arte e presidente uscente della Pro Loco Alessandro Manganaro, organizzatrice dell’evento. L’appello era rivolto alla salvaguardia del Complesso Monumentale dei Basiliani, in condizione di abbandono e il cui stato di conservazione è ormai giunto ai minimi termini, dopo i vari furti perpetrati nel tempo, dal tondo del Gagini, al furto della campana, al crollo di un pezzo del campanile,  fino alla recente scomparsa dello stemma dell’Ordine dei monaci greci “Basiliani”. “Bisogna collaborare con le istituzioni per trovare la strada giusta per intervenire”, ha concluso Italiano. L’argomento è stato ripreso anche dall’Assessore Gianluca Sidoti, che nel porgere i saluti ha  evidenziato l’intento dell’Amministrazione di salvaguardare il bene, adoperandosi per ottenere aiuto concreto dalle Istituzioni.

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Ha portato i saluti anche l’Assessore alla Cultura di Terme Vigliatore, Gigia Iannello, il cui Comune è coinvolto nel libro per il capitolo dedicato alla Villa Romana di San Biagio, annunciando per il prossimo 7 maggio l’apertura al pubblico della Villa per una visita guidata, con la presenza di storici dell’arte e di artisti.

Le due relazioni sul libro sono state affrontate dall’architetto Mimmarosa Barresi e da Girolamo Sofia, archeologo e direttore del Museo “Santi Furnari” di Tripi. La Barresi ha svolto un ampio intervento incentrato sulla romanizzazione della Magna Grecia, facendo interagire fonti classiche (Vitruvio, Virgilio…), rapporti tra pittura, scultura e architettura greca e romana, e contaminazioni tra le due culture. Un percorso complesso e affascinante  integrato dalla proiezione  di immagini.

Girolamo Sofia ha spiegato che il libro è nato per far conoscere e valorizzare il territorio  compreso tra i torrenti Mazzarrà e Patrì-Termini. Il suo intervento ha sostanzialmente ripreso ed illustrato con immagini i quattro capitoli in cui è strutturato il libro, e cioè la provincia romana di Sicilia, il sistema stradale organizzato in Sicilia dai romani, le città, i porti e gli scali della Sicilia Tardoantica ed infine si è soffermato sulla Villa Romana di Terme Vigliatore-San Biagio, proponendo le varie fasi della sua costruzione, avvenuta in un lungo arco di tempo che va dal II secolo a. C. fino al V d. C.

Una villa nata come residenza, e via via ampliata con edifici rurali ed infine con le terme. Ha proposto, per concludere, le immagini “dinamiche” dell’interno con i vari ambienti ed i mosaici,  realizzate dal professore Gaetano Mercadante qualche anno fa.

Indubbiamente si è trattato di un incontro interessante, ma che a quanto pare non è riuscito attirare il pubblico cittadino, neanche le persone che si occupano abitualmente della conoscenza e valorizzazione del territorio.



- di Maria Teresa Prestigiacomo -

 

Parigi. Conosco il francese e lo padroneggio ma ho inteso lasciare  in lingua originale questo commento profondo e garbato ma acuto e brillante del nostro corrispondente di Parigi per la politica Thierry Paul Valette, brillante poeta scrittore, valente pittore e docente come Letta all'Università più famosa della Francia per gli studi politologici: Sciences Po.

Abbiamo intervistato Paul Valette sui fatti di Parigi recenti:

Thierry Paul Valette: "JE SUIS DE TOUT COEUR AVEC LES FORCES DE L'´ORDRE MAIS JE SUIS INDIGNÉ .PARFOIS J'AI HONTE D'ÊTRE FRANÇAIS, JE VOUS EXPLIQUE POURQUOI

ATTENTAT DES CHAMPS ELYSEE:  ATTENTAT OU SIMPLE FAIT DIVERS DANS UNE BANALISATION DE L’ETAT D’URGENCE ?

Ultime ligne droite du premier tour de cette élection présidentielle hors normes inscrite dans un contexte hautement à risque.Revenons sur les derniers faits.
-A Marseille le mardi 18 avril est déjouée une attaque imminente. Deux hommes dangereusement armés se préparaient à entrer en action. Aucune victime à déplorer.
-A Paris le jeudi 20 avril, sur la plus grande avenue du monde , un homme seul s’attaque à un car de police. Bilan un policer assassiné et trois blessés dont une touriste.
Cette dernière série d’actes terroristes face à la situation d’exception de l’état d’urgence soulève   une série de questions.

1°)  IL Y A T’IL UNE BANALISATION DE L’ETAT D’URGENCE ?
       
La lutte contre le terrorisme n’à pas été un sujet pleinement abordé chez l’ensemble des candidats de cette élection présidentielle 2017 contrairement à l’élection précédente. Pourtant cette campagne s’inscrivait dans un contexte très particulier : celui du régime de l’état d’urgence. Cet état d’exception en réponse aux attentats de Paris et de Saint-Denis perpétrés  dans la soirée du 13 novembre 2015. Elle reste une mesure exceptionnelle qui fut utilisée à cinq reprises sous la V république depuis la promulgation de la loi en 1955.

En vigueur depuis le 14 novembre 2014 et prolongée jusqu’au 15 juillet 2017 sous l’impulsion du président Hollande , cette mesure qui se devait exceptionnelle en vertu de l’article 5 de la constitution voit le pays s’inscrire dans une réelle accoutumance remettant en cause sa légitimité.
Récemment dix responsables associatifs et quarante deux universitaires ont appelé le chef de l’état à la levée de cet état d’urgence avant de quitter ses fonctions présidentielles. Ce même chef de l’état qui avait détourné cet état d’exception  pour entraver des manifestations écologistes et syndicalistes.

Nul doute que pour ses détracteurs nous sommes dans une banalisation de l’état d’urgence.Les français sont d’une certaine manière habitués à cet état de fait. Ce qui répondait de l‘exception fait à présent parti du quotient , outre les conséquences sur le système judiciaire plus précédemment la « déjudiciarisation » de la justice. Les attentats successifs font malheureusement partie du paysage français depuis 2012. Il y a t’il d’une certaine manière une banalisation de ces événements ? Deviennent ils au yeux des français de « simples faits divers » dramatiques  à force de répétitions ?

2°) LES CHAMPS ELYSEE : ATTENTAT OU UN « SIMPLE FAIT DIVERS » ?

Naturellement  il va de soit que les terribles événements qui se sont déroulés dans la soirée du jeudi 20 avril sur la plus grande avenue du monde restent des actes odieux d’une lâcheté incommensurable et sans nom. Bien évidemment que ce soir la , sur les Champs Elysée , il s’agissait bel et bien d’un attentat répugnant commis par un homme isolé portant atteinte à la sureté de l’état faisant un mort parmi les forces de l’ordre et trois blessés dont une touriste étrangère.
Seulement une question se pose : Dans l’esprit des gens s’agissait-il d’un attentat ou finalement considérait-ils plutôt cet acte comme appartenant d’avantage à la série des dramatiques faits divers dont ils commencent à être tristement habitués ? La question peut être légitimement posée au lendemain de cette attaque meurtrière et barbare revendiquée.

Le faible impact émotionnel que cela à réellement déclenché tranche considérablement avec les précédentes attaques terroristes qui elles avaient suscité d’intenses et vives réactions très nombreuses au travers de l’hexagone. De multiples rassemblements spontanés avaient vu le jour , des rassemblements d’hommages et d’indignations s’étaient alors crées .
Or deux jours après les faits commis sur les Champs Elysée, force est de constater qu’il n’en est rien concernant les événements de jeudi soir.
Certes des bougies ont été déposées sur les lieux même de la tragédie , quelques bouquets de fleurs également ,seulement une infime partie des parisiens se sont réellement déplacés. Le syndicat des forces de l’ordre accompagné de quelques dizaines de policiers, des passants , quelques touristes et quelques parisiens constitués l’ensemble des hommages. En somme très peu de monde.

Sur les réseaux sociaux la solidarité envers notre police nationale faisait preuve d’une bien grande timidité bien loin , très loin ,du temps ou nous étions « Charlie ». D’ailleurs le réseau social Facebook qui d’ordinaire lance son « alerte attentat » pour situer les personnes en sécurités , n’a cette fois-ci pas été utilisé.
Un événement sur la page Facebook du mouvement de l’égalité nationale en hommage aux victimes et en soutien aux forces de l’ordre, prévu pour samedi après midi à la place de la république , ne voyait qu’une trentaine d’inscrits vendredi soir ,soit une très faible participation citoyenne.

Toutes ces réactions contrastaient fortement avec les images véhiculées par certains médias qui au contraire ont indiqués : « de très fortes émotions » , « des rassemblements dans quelques grandes villes » , « une population sous le choc ». S’appuyant pour se faire sur quelques plans serrés de caméra sur une foule minuscule.

Vendredi soir les terrasses de café n’ont pas désempli ,sur les Champs Elysée le calme des jours précédents était retrouvé.L’émotion restait très contenue. Pouvons nous parler pour autant d’un désintérêt collectif envers nos fonctionnaires de police encore récemment pris à parti lors de dernières manifestations ? La question mérite d’être soulevée.

3°) UN DESAVEUX DE LA POLICE NATIONALE ?

Cet acte terroriste n’a donc pas suscité les émotions et réactions des précédentes attaques terroristes comme si finalement la mort de ce jeune policier lâchement assassiné  jeudi soir sur les Champs n’avait pas une si grande importance dans sa symbolique.

Notre police nationale est malheureusement confrontée ces derniers temps à de nombreuses tensions avec une partie de la population. Récemment encore lors de manifestations ils ont été pris à parti. Pire encore le 19 mars une marche contre les violences policières mobilisait prés de 10 000 personnes à paris de la Nation à place de la république.

L’affaire Adama Traoré , un jeune de 24 ans décédé lors de son interpellation par des gendarmes.
L’affaire Théo avait elle aussi indigné de nombreuses personnes , provoquant des tollés générales, ce jeune violemment interpellé par les forces de l’ordre victime pendant son arrestation d’une déchire anale conséquente à l’intrusion d’une matraque policière . Ce n’était pas la première fois d’ailleurs que ce type de faits se produisait.

Ces nombreuses affaires épineuses et contagieuses jettent l’opprobre sur la profession toute entières et s’inscrivent dans un contexte compliqué d’une société en manque de repère et d’espérance qui voit la montée des extrêmes , un taux de chômage toujours important , des attaques terroristes à répétitions, un raz le bol général des citoyens face aux affaires de corruption de nos élus.

Stigmatisée , notre police est la mal aimée nationale dont aucun de nos élus n’a pour le moment trouver la solution miracle pour effacer ce désamour. Depuis  2012 ils restent une cible privilégiée des djihadistes.  Sur les réseaux sociaux , à l’exception des pages d’actualités de grands médias et de certain profil Facebook , les événements dramatiques de jeudi soir ne semblent pas provoquer l’indignation générale.Les attaques de Mohamed Merah avaient quand à elles marquées au fer rouge l’élection de 2012.

Pour la plupart des gens interrogés ces événements n’auraient aucune incidence dans les urnes dimanche .Cette élection présidentielle 2017 qui restera dans les anales pour de multiples raisons aurait-elle pris le pas sur les considérations essentielles que nous devons nous poser dans notre « bien vivre ensemble » ? Elle nous réserve encore des surprises….Les comportements irresponsables de certains de nos élus candidats à l'élection présidentielle ainsi que leurs visions de la morale fortement discutable , sont eux aussi responsables et comptables de cette situation générale.Rendront-ils des comptes ? C'est une autre question...

TPV
#ChampsElysee #policenationale #electionpresidentielle #egalitenationale

- di M. C. -

A Barcellona sta montando la polemica per la critica situazione della chiesa dei Basiliani e dell’adiacente ex Convento. Da anni il complesso monumentale, realizzato alla fine del XVIII su una collinetta alla spalle del quartiere Immacolata, è in stato di abbandono e di degrado. La chiesa è chiusa da anni, così come l’ex Convento, una grande costruzione a corte che nel corso del tempo è stata adibita a sede del Liceo Classico Luigi Valli, poi di altre scuole ed anche della Pretura.

 

Salviamo Basiliani con Genius Loci

Il forzato abbandono definitivo del monastero da parte dei monaci nel 1866, a seguito delle leggi di soppressione degli ordini religiosi, favorì il degrado della chiesa e la spoliazione di gran parte degli arredi sacri, della biblioteca dei monaci e di alcune opere d’arte, come il ritratto del Conte Ruggero e il ritratto dell’Abate Eutichio Ajello (1711-1793). Per molti anni la chiesa rimase abbandonata e resa inaccessibile con le tre porte d’ingresso murate. Negli anni Sessanta la chiesa fu sottoposta a restauro permettendone la riapertura al culto nel 1969. Fu rifatto il tetto, che nel frattempo era crollato, ma senza il controsoffitto a volta, e ricostruita in cemento armato, con una scelta non molto felice, la cantoria originariamente il legno.

Il prospetto della chiesa era arricchito da un prezioso tondo in marmo del XVI secolo attribuito ad Antonello Gagini e rubato nell’estate del 1991. In tempi recenti è stata rubata una della campane, e durante un’incursione all’interno, è stata danneggiata una delle “varette” del Venerdì Santo, prontamente restaurata. Come se non bastasse tutto questo, nella notte tra il 5 e il 6 gennaio 2017 un fulmine ha colpito il campanile posto sul lato destro del prospetto, danneggiando la cornice in pietra e la copertura a tegole,  e divelto la croce in ferro. Proprio sul retro di  quel campanile c’era incisa sull’intonaco la firma dell’autore della facciata e la data dipinta a pennello: “Gioseppe Chindemi fecit 1791”. La scritta  è andata perduta, i frammenti sono ancora a terra e il campanile è senza protezione.

In questi giorni gli abitanti del quartiere, che hanno organizzato una sorta di vigilanza visiva dalle loro case, hanno notato la scomparsa dello stemma dei Basiliani posto sulla porta d’ingresso dell’ex Convento, esistente sicuramente fino al dicembre del 2015 perché documentato da foto. L’area dei Basiliani attualmente non è accessibile, perché recintata dal cantiere aperto per la realizzazione della strada di collegamento tra la via Leopardi (la Circonvallazione) e lo spiazzo antistante il Complesso Monumentale. Non è ancora ben chiaro cosa sia accaduto, ma sono in molti a ritenere che lo stemma sia stato rubato. Questo ha scatenato la polemica dei cittadini, veicolata soprattutto dai “social”, dove si intrecciano foto e commenti, assieme ad una campagna di sensibilizzazione avviata oltre un anno fa dall’associazione Genius Loci con lo slogan “Salviamo dal degrado il Complesso Monumentale dei Basiliani”.

I cittadini attendono risposte da tutti gli Enti competenti e chiedono soprattutto la messa in sicurezza degli edifici e dei frammenti caduti del campanile e l’attuazione della videosorveglianza.

- di Maria Teresa Prestigiacomo -

Messina. Lui è un simpatico giovane rampante che ha scelto di vivere la sua terra, la Sicilia scegliendo di operare svolgendo un’attività che rappresentava il  suo sogno e con la quale  ben presto, ha conquistato il mercato siciliano e non solo.

Scongiurato cosi il pericolo di emigrare, in cerca di lavoro, Alessandro Carlino, dalla spiccata  mentalità imprenditoriale,

vara la sua azienda il CAN Srls, che nasce dall’esperienza trentennale dei suoi fondatori che hanno  espresso un’esauriente competenza nel mondo della rosticceria siciliana .

Qualità e passione fanno si’ che i prodotti dell’azienda vengano ricercati  sia in Italia che all’estero,

La selezione rigorosa delle materie prime che privilegiano ingredienti genuini e facilmente digeribili, viene effettuata da professionisti di consolidata esperienza.

 Ciò contraddistingue l’azienda, oltre la miriade di tipologie di arancino: alla  ‘nduia, al peperoncino,  per soddisfare i palati forti dei dirimpettai  calabresi ed inoltre, il classico dell’arancino, al ragù, al burro…in mille modi

e diversificato per tre misure, destinate alle varie esigenze dei grandi e dei piccoli, nella mission finale della piena soddisfazione del cliente, per qualità, eccellenza, rapporto qualità-prezzo.

Esprimiamo sommo compiacimento per  il Premio che Alessandro Carlino conseguirà per l’eccellenza e la qualità dei suoi prodotti su selezione del “manager del marketing  enogastronomico” Pippo Castorina,  accettata dall’Accademia Euromediterranea delle arti.

La cerimonia avrà luogo a Taormina Mare a Letoianni presso la Villa Garbo, dedicata alla Divina che trascorse  li molte delle sue vacanze; nel corso di un evento spettacolo che vedra  musica, moda arte e poesia e Libri, Carlino riceverà la sua Targa d’onore d ‘eccellenza, non senza avere fatto degustare, nella splendida Villa storica  sul mare, la Villa della famiglia Sabato, le  prelibatezze di Sicilia, griffate Alessandro Carlino del  CAN. Da qui, Carlino farà conoscere  ancora meglio il suo piccolo paese e la Sicilia, con i suoi prodotti, in tutta l’Europa.(Riprese televisive Teleacras con il giornalista Lamendola). Il   CAN S.R.L.S. è in  VIA G. DI VITTORIO SNC  98044 ARCHI SAN FILIPPO DEL MELA (ME) TEL.090/9384883    E-MAIL: Questo indirizzo email è protetto dagli spambots. È necessario abilitare JavaScript per vederlo.  WWW.CANSURGELATI.IT

- di M.C. -

Progetto del Comune di Barcellona Pozzo di Gotto, fortemente voluto dal sindaco Roberto Materia e dal direttore artistico Sergio Maifredi, “Un canto mediterraneo”, in cartellone il 29 aprile alle ore 21 al Teatro Mandanici, per Mario Incudine, che ne firma la direzione artistica e la regia, è “un’occasione irripetibile. Così, con queste atmosfere, con queste emozioni, con questa ‘trama’, non potrà essere replicato da nessun altra parte. Perché non ha uno spartito o un copione immaginato a tavolino e poi allestito. Al contrario si è delineato giorno dopo giorno, tra un laboratorio e un incontro, tra una proposta e una sollecitazione. E’ figlio del confluire delle tantissime eccellenze di questo territorio, delle loro tradizioni e capacità, dei loro desiderata, della loro voglia di raccogliere nuove sfide artistiche”. “Amo credere – conclude Incudine – che la cultura e la creatività possano e debbano produrre eventi con grandi numeri, cosa che ammetto essere particolarmente controcorrente in un periodo di profonda crisi quale quello attuale, ma che è, allo stesso tempo, uno dei doveri insiti nel fare arte. Di questo spettacolo io mi reputo solo ‘l’assemblatore’ e non vedo l’ora, davvero, di essere sul palco e dare vita a questo sogno comune”.

Un sogno sufficientemente folle da vedere tutti insieme più di cento artisti, con sensibilità differenti, tutti disponibili a dare supporto agli altri e tutti degni, come si vedrà in scena, di un proprio intenso protagonismo. “E’ un sogno nel significato più ampio”, dice sorridendo Antonio Vasta, che di “Un canto mediterraneo” è maestro concertatore e direttore. “Anche perché è uno spettacolo che contiene a pari merito i maestri e i 40 allievi dei tre laboratori che abbiamo tenuto in questi mesi, esperti e giovani alle prime armi, tradizioni e sonorità che avevano preso strade differenti e oggi si ritrovano come in una nuova origine a mischiarsi e darsi reciprocamente spazio”.

E se Mario Incudine e Antonio Vasta, neanche a dirlo, saranno sul palcoscenico, ci sarà in partecipazione straordinaria quel Peppe Servillo che per l’occasione ha studiato di presentare anche un tributo alla canzone siciliana. Al loro fianco, Faisal Taher, Stefania Patané, Antonio Puztu, Giorgio Rizzo, Antonio Livoti, Anita Vitale, Carmelo Imbesi, Carmen Zangarà, Pino Ricosta e Manfredi Tumminello. E ancora un’orchestra creata per l’allestimento di questo spettacolo, l’Orchestra popolare del Teatro Mandanici composta dal coro di voci bianche “I piccoli cantori” diretti da Salvina Miano, i Visillanti di Barcellona e di Pozzo di Gotto, il grande ensemble di Zampogne a paru, gli organetti di Pippo Benevento e Antonio Merulla.

A ben rappresentare l’unicità di “Un canto mediterraneo” infine ancora altre presenze: il quindicenne Anthony Bellinvia, l’allievo più giovane che si misura con passione con la fisarmonica, il diciassettenne Carmelo Puliafito che si è presentato interpretando antiche nenie ormai sconosciute e che oggi tornano a vivere grazie al suo talento, e i tre zampognari ultimi depositari della tradizione, Domenico De Pasquale, Salvatore Grasso e Salvatore Vinci.

 

      PALERMO, 20 APR – Il presidente dell’Ars, Giovanni Ardizzone, insieme all’assessore regionale alla Famiglia alle Politiche sociali e al Lavoro, Carmencita Mangano, hanno incontrato alcune associazioni siciliane anti violenza, per rendere operativa la rete costituitasi a marzo durante il convegno ‘Dalle parole ai fatti’, che si è svolto a Messina, organizzato dal Comitato italiano reinserimento sociale – onlus (Cirs) della città dello Stretto.

      “Abbiamo dato seguito all’incontro di Messina – ha precisato Ardizzone – per capire come concretamente procedere su un tema così delicato. Siamo convinti che solo attraverso il confronto con gli operatori, che quotidianamente operano sul territorio, spesso dovendo affrontare situazioni difficili, possiamo creare le condizioni migliori perché le associazioni garantiscano un sistema sempre più efficace di protezione e supporto alle vittime di violenza”.  

 

Foto Incontro Associazioni 2  

      “Siamo convinti dell’importanza di fare rete – ha dichiarato la presidente del Cirs di Messina, Maria Celeste Celi, per essere più ‘forti’ e, soprattutto, per correggere anche i tanti nodi che spesso non ci permettono di agire in modo efficace e tempestivo. Secondo la Celi, “il nuovo sistema ha consentito di coinvolgere anche le piccole realtà locali che svolgono un lavoro utilissimo in tutta la Sicilia e che spesso non ricevono nessun contributo”.

      “Non possiamo più lasciare all’improvvisazione, a fatti di coscienza o alla spontaneità gli interventi a supporto delle vittime di violenza – ha affermato l’assessore regionale alla Famiglia Carmencita Mangano -. Lavoreremo alla riattivazione del Forum sulla violenza di genere e dell’ Osservatorio permanente sul tema, ma anche ad una ricognizione delle competenze e ad una mappatura delle strutture che operano sui territori. Occorre un metodo per riprogettare il sistema degli interventi, ancorandolo ad un percorso condiviso”, ha aggiunto l’assessore,  sollecitando le stesse associazioni ad organizzarsi anche territorialmente per governare il processo di intervento”.

      Subito dopo sono intervenuti i responsabilità delle diverse associazioni che, alla fine dell’incontro, hanno consegnato ad Ardizzone e all’assessore un documento condiviso con alcune proposte operative. La rete creata ha costituito un ufficio di coordinamento che si riunirà periodicamente.

      Le associazioni che hanno partecipato al tavolo, oltre al Cirs, sono: ‘Al tuo fianco’ (Roccalumera); ‘Traormina forum’ (Taormina); il Comune di Tortorici (Messina); ‘La Clessidra (San Piero Patti, Messina); ‘Pink Projet’ (Capo d’Orlando, Messina); ‘Una di noi’ onlus (Villafranca Tirrena, Messina); Cirs di Catania; ‘Eva luna onlus (Gaggi, Catania); Telefono Rosa (Bronte, Catania); cooperativa ‘Etnos’ (Caltanissetta); ‘Galatea onlus (Caltanissetta); ‘La Casa delle donne’ (Ragusa); ‘Il filo di seta’ (Vittoria, Ragusa); ‘Luce onlus focus group’ (Agrigento); ‘La Nereide’ (Siracusa); ‘Work in progress Pink house’ (Florida, Siracusa); centro antiviolenza ‘Tartaruga’ (Palermo); ‘Donne insieme Sandra Crescimanno’ (Piazza Armerina, Enna); cooperativa ‘3P Padre Pino Puglisi’ (Palermo).

 

Sinossi

Ogni nome racchiude un significato, spesso legato a quelle emozioni più viscerali che sia accostano agli attimi più importanti della nostra vita. Augusta con questa silloge fa un bel salto di qualità, ritornando alla base dell’essenza, all’incipit che ha dato origine a quello che è la sua poetica, al cuore pulsante di tutto che anima e schiude quei cassetti o apre porte o scaraventa giù muri: lei stessa.

“Mi chiamo per nome”, incipit con cui alimenta un susseguire di descrizioni che la portano ad analizzare sé stessa, attraversando la sua parte più intima, fatta di ricordi, di presenze quotidiane costanti, di atti d’amore, di gesti semplici ma così unici.

Luci ed ombre che si prendono per mano, a braccetto con il tempo e sorridendo, accarezzando il lettore, donando forza protettiva e coperta che riesce con amore a sopportare anche la solitudine “offuscata”  o colorando l’anima.

Ci sono cose che si vedono oltre lo sguardo mortale, e trovano la vera libertà in quell’orizzonte o in quel battito d’ali, dove “pensieri indistinti” tinteggiano e formano sfumature vivaci.

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Breve Biografia
Augusta Tomassini (Fossombrone - PU, 1955), poetessa contemporanea e da sempre impegnata e attenta al sociale. Attualmente riveste la carica di consigliera e coordinatrice Pari Opportunità u.i.c.i. per la Regione
Marche. Dal 15 settembre 2015 è stata nominata commissaria C.P.O. (Commissaria Pari Opportunità) della Regione Marche. Augusta ha pubblicato tre libri: "Volo dell’anima, Poesie dall’ombra" (2013); "L’altra me,
bagliori in…Versi" - Edito da Helicon di Arezzo (2014) con cui ha vinto il concorso Internazionale Itinerante Word Literary Prize e al Premio Letterario Casentino, 40° e 41°edizione. "Sulle Ali del Tempo, riflessi di luce" - Ed.Pegasus (2015), risultato vincitore a S. Marino "Sulle Ali del Tempo, riflessi di luce" - Ed. Pegasus (2015), risultato vincitore a S. Marino. Ha ottenuto vari riconoscimenti in Premi Letterari e sulla sua poetica si sono espressi favorevolmente il critico letterario dottor Michele Miano, la dott.ssa Cristiana Vettori e la dott.ssa Annamaria Pecoraro. L’ispirazione di Augusta si sostanzia in “una ricerca interiore costituita da tre raccolte di liriche,apparentemente accomunate dallo stesso leit motiv – la sofferenza – ma di fatto costituiscono un percorso interiore ben preciso scandito da momenti diversi.” Sito web: http://www.augustatomassini.com
Pagina Facebook Ufficiale: https://www.facebook.com/TomassiniAugusta
Pubblicazioni:
Dopo un periodo di lutto, sofferenza e solitudine, mi sono affidata alla poesia per ritrovare me stessa, il sorriso, la speranza di poter sognare ancora.
-Nel 2013 ho pubblicato il mio primo libro Volo dell’anima - poesie dall’ombra che riscosse, con mia grande sorpresa, un immediato successo in tutta Italia .Ho partecipato a più di 50 presentazioni
del mio libro.
-Nel mese di Novembre 2014 ho raggiunto un altro importante obiettivo, la pubblicazione del mio secondo libro: L’altra me - Bagliori in… versi, edito dalla casa editrice Helicon di Arezzo.
- Nel mese di settembre 2015 è stato pubblicata la terza raccolta di poesie “ SULLE ALI DEL TEMPO riflessi di luce” edito dalla casa editrice PEGASUS EDITION di Cattolica.
- Nel 2016 pubblico il quarto libro: “ Mi chiamo per nome – Ombra e luce” casa editrice Helicon di Arezzo
Esposizioni e Premi:
Augusta ha presentato i suoi volumi nelle maggiori città italiane. Con uno dei suoi libri è risultata vincitrice ed è stata premiata in Francia a Parigi. Presente in diverse antologie poetiche.
Prossimamente edita in lingua spagnola e pubblicata in America Latina.

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